mercredi 4 février 2009

Le polar comme exutoire






L'auteur en dédicaces.

Rendez-vous au salon du livre de Paris le dimanche 15 Mars 2009.
En Mai 2009 sortira: le vampire de Bréhat












Les lignes qui suivent ont été écrites dans un journal gratuit de la région parisienne suite à un manuscrit de polar que je leur avais envoyé.

" Michel Dozsa passe ses journées au son du vent breton. Et se promène sur le monde alentour. Aujourd’hui il a écrit autant de manuscrits que d’années passées en bord de mer.
Et maintenant... le plus dur, se faire éditer ? …
... C’EST FAIT !!!
Pour un premier polar qui est sorti à la mi-Avril 2007, aux éditions Astoure. Le titre : LES CELIBATUEUSES DU TREGOR.
Une enquête menée par Ronan Magyar, ex-commissaire d’une brigade spéciale, devenu détective privé et son amie, Morgane Navalo, journaliste à « Global-Ouest. »
Dans le cadre enchanteur de la côte de granit rose, avec ses plages de sable fin, ses rochers posés là depuis la nuit des temps, le privé mènera une enquête ou pêle-mêle, des hommes, des femmes célibataires, « les fameuses célibattantes, » se rencontreront pour le plus grand malheur de certains…"
Le journal reprend:
" Triste époque, non ?... Notre terre brûle ou passe sous l’eau, souffre dans ses quartiers, recueille une misère croissante. Les gens ont l’œil qui toise et le cœur qui lézarde.
Pour Michel Dozsa, la vie ressemble à un bouquin à balles réelles. Style qui s’impose naturellement à lui.
Mais le bon demi-siècle passé, inspiré par son épouse, il sait rendre les coups… par la plume.
" Je lis les journaux, les faits divers. Et les idées me viennent… ce n’est pas difficile, les pages en sont remplies. "
Inutile d’aller chercher ailleurs ce que l’on a là, devant soi, quelque part entre imaginaire et réel. Les peurs et les fantasmes de ceux qui font marcher le monde… ou le font tomber à la renverse.
C’est aussi pour cela que Michel Dozsa a « décroché » son stylo comme un téléphone, ouvrant ainsi un dialogue avec un lecteur potentiel, cet anonyme que l’on connaît… Michel Dozsa emprunte toutes les ruelles sociales, les plus sordides et les autres, pointant sa mine sur chaque travers qu’il rencontre. "Ecrire, dit-il, est une espèce de thérapie. Les situations sont toujours actuelles et les personnages souvent blessés. "Quand-on prend la peine de la regarder, la Bretagne donne des couleurs et des mots extraordinaires, dont certains, explique l’écrivain, forcent au respect.
Conséquences: une dizaine de manuscrits qui attendent...
... Ils sont prêts.
Michel Dozsa en a fait des sujets d’une écriture vivifiante, qui entend remettre du baume au cœur de ceux qui ne se font pas entendre. L’écrivain ne lie pas seulement les mots et les maux, il rend au lecteur cette impression, souvent perdue dans ce siècle moderne, d’exister.
« Je n’aime pas être un numéro » ajoute-t-il. « Exister, c’est faire partie de la vie et non pas en être le spectateur. Certes, il faut sortir du monde pour écrire, mais juste le temps d’écrire. »
L’un des manuscrits de Michel Dozsa raconte l’histoire d’un « type sans boulot qui quitte sa femme, décide de partir avec toutes ses économies pour EXISTER une semaine dans un quartier de Paris, chez les riches… POUR VOIR... »
... ET APRES ?
Et l’écrivain de répondre : vous le saurez plus tard »
« Michel Dozsa aborde différents sujets dans ses manuscrits. Comme le milieu de la bourgeoisie, l'homosexualité, les histoires de familles, souvent sordides. Avec des meurtres sanglants. Et aussi, ce qui lui tient à cœur, le monde des pauvres, des laissés-pour-compte.
Pourquoi?
Simplement, parce que dans ce monde nouveau, l'exclusion est devenue presque la norme.
ON A LA TROUILLE!!!
Le travail pour la vie, presque une exception. Michel Dozsa emprunte toutes les ruelles sociales, les plus sordides et les autres, pointant sa mine sur chaque travers qu'il rencontre. Il pénètre par exemple « le milieu SDF » et distille au fil des lignes le regard parfois acerbe que l'on porte sur lui. La pauvreté est-elle légitime ? Le « vivre sans » est-il le « sans vivre ? »
Et de sans à sang ! Le chemin est-il long ? L’auteur joue avec nos sens, nous laisse vide.
Enfin, avec une certaine impatience, les manuscrits attendent maintenant d’être transformés en livres.
Cordialement, aux futurs lecteurs.
Michel Dozsa









Aucun commentaire:

compteur pour blog